UTOPIA EQUITABILUS, LE CHANT DES ARTISANS
"Pour gagner sa vie il faut travailler mais pour devenir riche,
il faut faire autre chose!!!...".
D'puis qu'le commerce est équitable,
Qu'on mange plus en dessous d'table,
Les sans papiers sont moins affables
Et les tyrans plaident coupables.
D'puis qu'le commerce est équitable,
Les fonds d'pension sont moins rentables.
On a r'trouvé nos autoroutes,
Sur les péages on casse la croûte.
On a rayé le maillon faible
De la grille télévisée.
Brassens est le nouveau remède
À la névrose organisée.
D'puis que le commerce est équitable,
Pour la bourse c'est la débâcle
Et plus personne ne renâcle
À porter le travail au pinacle.
Les rêves ont r'trouvé les cartables,
Ya des sourires dans les étables
D'puis qu'on se r'trouve plus sur la paille
A cause du fruit de son travail.
Les postes retournent dans les montagnes,
Les trains s'arrêtent dans les campagnes,
Nos vieux sont moins « caniculaires »
Et les banlieues moins « montent en l'air ».
D'puis qu'le commerce est équitable,
Ya plus de dieu, y a plus de diable.
On s'prend à «r'aimer » son semblable
Et même aussi les jours ouvrables.
On n'confond plus assistanat
Avec Dame solidarité
Et on crie vive l'artisanat,
Les compagnons, la dignité.
Les fainéants sont montrés du doigt!
Les p'tits chefs ne font plus la loi!
On ne parle plus d'abus d'pouvoir
Depuis qu'tricher est illusoire.
On a rayé le maillon faible
De la grille télévisée,
Brassens est le nouveau remède
A la névrose organisée.
Auprès de mon arbre, je vivais heureux!
J'aurais jamais dû le quitter des yeux….
il faut faire autre chose!!!...".
D'puis qu'le commerce est équitable,
Qu'on mange plus en dessous d'table,
Les sans papiers sont moins affables
Et les tyrans plaident coupables.
D'puis qu'le commerce est équitable,
Les fonds d'pension sont moins rentables.
On a r'trouvé nos autoroutes,
Sur les péages on casse la croûte.
On a rayé le maillon faible
De la grille télévisée.
Brassens est le nouveau remède
À la névrose organisée.
D'puis que le commerce est équitable,
Pour la bourse c'est la débâcle
Et plus personne ne renâcle
À porter le travail au pinacle.
Les rêves ont r'trouvé les cartables,
Ya des sourires dans les étables
D'puis qu'on se r'trouve plus sur la paille
A cause du fruit de son travail.
Les postes retournent dans les montagnes,
Les trains s'arrêtent dans les campagnes,
Nos vieux sont moins « caniculaires »
Et les banlieues moins « montent en l'air ».
D'puis qu'le commerce est équitable,
Ya plus de dieu, y a plus de diable.
On s'prend à «r'aimer » son semblable
Et même aussi les jours ouvrables.
On n'confond plus assistanat
Avec Dame solidarité
Et on crie vive l'artisanat,
Les compagnons, la dignité.
Les fainéants sont montrés du doigt!
Les p'tits chefs ne font plus la loi!
On ne parle plus d'abus d'pouvoir
Depuis qu'tricher est illusoire.
On a rayé le maillon faible
De la grille télévisée,
Brassens est le nouveau remède
A la névrose organisée.
Auprès de mon arbre, je vivais heureux!
J'aurais jamais dû le quitter des yeux….